Je n’avais franchement pas aimé la dernière création du jeune auteur réunionnais « De toute mon existence ».
Son nouvel opus, Gabriel(le), raconte l’histoire d’un(e) jeune (femme?) qui vient de perdre son père. Après avoir abordé l’homosexualité, Méduse raconte via son deuil, le mal être, quand le corps donné n’est pas le corps souhaité.
Avec Soraya Thomas pour le regard chorégraphique, Valérie Cros et Christian Giriat pour les conseils dramaturgiques, Marcelino Méduse s’est bien entouré. Je ne demande qu’à être bouleversée.