On préfère vous griller le suspens tout de suite : Jessica va quitter Brandon ! Il faut nous excuser mais c’est le principe d’une tragédie, tu connais la fin dès le début. Nous, ce qu’on veut, c’est comprendre « pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon ? ». Et pour cela il faut comprendre qui est Brandon et plus précisément quel est le monde de Brandon ? Car c’est dans ce monde que se trouve l’énigme, et c’est dans ce monde que se trouve la solution…

Les billets de l'édition 2024 du festival seront en vente sur la plateforme péi :

https://www.monticket.re/

Les ventes débuteront: le 27 mars pour les 1 000 billets à 12€ et le 7 avril pour les billets à 5€

Pièce récompensée par 3 Petits Molières en 2018, a triomphé 3 ans au Festival d’Avignon et notamment au Festival off Avignon 2023. Sorte de “Cercle des poètes disparus” à l’école primaire jubilatoire, la pièce se promène d’une référence à l’autre (Barbara, Proust, Ph Claudel, Aragon, Pagnol...) et pose un regard d’adulte sur l’enfance pour en sourire et s’émouvoir.

Nouvelle création de la Compagnie parisienne Les Poulbots, cette pièce de Grégory Bellanger traite du libre arbitre et de la transmission. À la mort de son père Marcel, Christian découvre une photo de lui, en 1940, entouré de grandes figures de la Résistance. De là, va s’en suivre une (en)quête passionnante où Christian va peu à peu exhumer les secrets de son père…

Monsieur Pierre découvre que la petite maison qu'il vient d'acheter est hantée par une sorcière cachée dans le placard à balais…  Elle ne fait pas de bruit et reste bien tranquille, sauf si on a le malheur de chanter : « Sorcière, sorcière, prends garde à ton derrière !». 

Les billets de l'édition 2024 du festival seront en vente sur la plateforme péi :

https://www.monticket.re/

Les ventes débuteront: le 27 mars pour les 1 000 billets à 12€ et le 7 avril pour les billets à 5€

On préfère vous griller le suspens tout de suite : Jessica va quitter Brandon ! Il faut nous excuser mais c’est le principe d’une tragédie, tu connais la fin dès le début. Nous, ce qu’on veut, c’est comprendre « pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon ? ». Et pour cela il faut comprendre qui est Brandon et plus précisément quel est le monde de Brandon ? Car c’est dans ce monde que se trouve l’énigme, et c’est dans ce monde que se trouve la solution…

Douchka est, en 12 tableaux symboliques, le voyage de sa courte vie, qui nous mène de son enfance à sa mort, de ses rêves de liberté à ses désillusions, de son aspiration à l’amour à son profond désenchantement jusqu’à tenter de percer le mystère de cet être, d’en atteindre l’intime. Mots et danse s’entrelacent pour donner toute sa puissance et sa rage au récit de cette tragédie ordinaire. Douchka raconte notre société, notre humanité.

Les billets de l'édition 2024 du festival seront en vente sur la plateforme péi :

https://www.monticket.re/

Les ventes débuteront: le 27 mars pour les 1 000 billets à 12€ et le 7 avril pour les billets à 5€

On préfère vous griller le suspens tout de suite : Jessica va quitter Brandon ! Il faut nous excuser mais c’est le principe d’une tragédie, tu connais la fin dès le début. Nous, ce qu’on veut, c’est comprendre « pourquoi Jessica a-t-elle quitté Brandon ? ». Et pour cela il faut comprendre qui est Brandon et plus précisément quel est le monde de Brandon ? Car c’est dans ce monde que se trouve l’énigme, et c’est dans ce monde que se trouve la solution…

Douchka est, en 12 tableaux symboliques, le voyage de sa courte vie, qui nous mène de son enfance à sa mort, de ses rêves de liberté à ses désillusions, de son aspiration à l’amour à son profond désenchantement jusqu’à tenter de percer le mystère de cet être, d’en atteindre l’intime. Mots et danse s’entrelacent pour donner toute sa puissance et sa rage au récit de cette tragédie ordinaire. Douchka raconte notre société, notre humanité.

Un spectacle sur l’amitié, la loyauté, le mensonge et la trahison. Une épopée guerrière, masculine, basée sur une histoire vraie, mise en scène avec audace, poésie et dynamisme. Accompagnés de trois musiciens, les huit comédiens nous embarquent dans les grands espaces désertiques en interprétant une soixantaine de personnages. Une pièce nommée aux Molière 2022

Petit bijou de buddy comédie, « Les pâtes à l'ail » est une pièce hilarante co-écrite par Bruno Gaccio (auteur des Guignols de l'Info) et, ça tombe bien, son ami d'enfance Philippe Giangreco (scénariste pour H), au côté du scénariste et dramaturge Jean-Carol Larrivé. C'est à la fois tragique, comique, profondément humain, plein de tendresse et définitivement optimiste. On pense alors forcement au Barbier de Séville qui se « presse de rire de tout de peur d'être obligé d’en pleurer ».

Tous les mois Carlo et Vincent dînent ensemble autour d’un plat de pâtes à l’ail. Amis depuis 60 ans, ils refont ainsi le monde depuis leur plus tendre enfance et se racontent leurs vies si différentes. Mais ce soir est particulier, leur amitié va être mise à rude épreuve car Vincent va demander à Carlo de lui rendre le plus grand service qu’un ami puisse demander. Un service auquel Carlo va tenter d’échapper par tous les moyens.

Sur scène, des bouts de tout, des morceaux de rien. Une carcasse de voiture. Des objets rouillés. Du bois flotté. De la terre. Des cailloux. Des os. Dans cet espace en friche : un petit être, hors d’âge, sur le fil de ses souvenirs. Il va farfouiller parmi les décombres comme on soulève les gravats de sa propre histoire pour y retrouver caché dessous son alphabet.

Militant associatif de premier plan, ardent défenseur de la cause sociale à la Réunion (il est notamment le directeur d'Emmaüs), Bernard Grondin est aussi fonnkézèr, conteur, chanteur, poète. Incontournable, il met également son inépuisable énergie au service de sa passion en devenant le maître d'oeuvre de ce nouveau rendez-vous régulier qui propulse le fonnkèr sur la scène d'un théâtre, à la place qui lui revient de droit.

Sur scène, des bouts de tout, des morceaux de rien. Une carcasse de voiture. Des objets rouillés. Du bois flotté. De la terre. Des cailloux. Des os. Dans cet espace en friche : un pt'it être, hors d'âge, sur le fil de ses souvenirs. Il va farfouiller parmi les décombres comme on soulève les gravats de sa propre histoire pour y retrouver caché dessous son alphabet. Il va contempler la vie qui se cache dans les petits riens de la terre et ses yeux, ses oreilles, ses rêves vont s’ouvrir. Il écoute son cœur, embrasse le public, respire avec lui.

Sur scène, des bouts de tout, des morceaux de rien. Une carcasse de voiture. Des objets rouillés. Du bois flotté. De la terre. Des cailloux. Des os. Dans cet espace en friche : un pt'it être, hors d'âge, sur le fil de ses souvenirs. Il va farfouiller parmi les décombres comme on soulève les gravats de sa propre histoire pour y retrouver caché dessous son alphabet. Il va contempler la vie qui se cache dans les petits riens de la terre et ses yeux, ses oreilles, ses rêves vont s’ouvrir. Il écoute son cœur, embrasse le public, respire avec lui.

Le spectacle « Et puis ils ont dit… Rideau ! » se veut être une expérience théâtrale dans le sens le plus pur du terme. Ici, est proposé au spectateur de rencontrer l’acte théâtral dans ce qu’il a de plus intime. En écrivant cette proposition, je voulais me lancer dans le méta-théâtre. Créer un espace où tour à tour, le spectateur est visiteur, acteur mais aussi créateur.

Deuxième session, on recommence : on prend un autre auteur (Sergio Grondin de la compagnie Karanbolaz) , un autre metteur en scène (Gilles Cailleau de la compagnie Attention Fragile) et on crée à nouveau en 5 jours un spectacle sur un thème d’actualité...
Encore un exploit, tant dans l’écriture théâtrale contemporaine ainsi mise en lumière, que dans la performance de l’équipe mise en scène. C’est à chaque fois un objet innovant et audacieux qu’on est heureux de découvrir !

Deuxième session, on recommence : on prend un autre auteur (Sergio Grondin de la compagnie Karanbolaz) , un autre metteur en scène (Gilles Cailleau de la compagnie Attention Fragile) et on crée à nouveau en 5 jours un spectacle sur un thème d’actualité...
Encore un exploit, tant dans l’écriture théâtrale contemporaine ainsi mise en lumière, que dans la performance de l’équipe mise en scène. C’est à chaque fois un objet innovant et audacieux qu’on est heureux de découvrir !

« La chute des anges » est un spectacle peuplé de corps hors-normes, sept anges tombés du ciel, rebelles et déchus qui semblent coincés dans une humanité formatée, mécanisée, sur une Terre sans Soleil. Avec la lumière comme sujet central et seul décor ou presque, ces êtres devenus robots se suspendent, tombent et rebondissent, se ruent, s'envolent peut-être tout en virtuosité dans une chorégraphie poétique et totalement enivrante.

Ce voyage, d’un onirisme étrangement sobre, entre cirque et théâtre du corps, embarque du début à la fin. " Emmanuelle Bouchez, Télérama

Deuxième session, on recommence : on prend un autre auteur (Sergio Grondin de la compagnie Karanbolaz) , un autre metteur en scène (Gilles Cailleau de la compagnie Attention Fragile) et on crée à nouveau en 5 jours un spectacle sur un thème d’actualité...
Encore un exploit, tant dans l’écriture théâtrale contemporaine ainsi mise en lumière, que dans la performance de l’équipe mise en scène. C’est à chaque fois un objet innovant et audacieux qu’on est heureux de découvrir !

« La chute des anges » est un spectacle peuplé de corps hors-normes, sept anges tombés du ciel, rebelles et déchus qui semblent coincés dans une humanité formatée, mécanisée, sur une Terre sans Soleil. Avec la lumière comme sujet central et seul décor ou presque, ces êtres devenus robots se suspendent, tombent et rebondissent, se ruent, s'envolent peut-être tout en virtuosité dans une chorégraphie poétique et totalement enivrante.

Ce voyage, d’un onirisme étrangement sobre, entre cirque et théâtre du corps, embarque du début à la fin. " Emmanuelle Bouchez, Télérama

« La chute des anges » est un spectacle peuplé de corps hors-normes, sept anges tombés du ciel, rebelles et déchus qui semblent coincés dans une humanité formatée, mécanisée, sur une Terre sans Soleil. Avec la lumière comme sujet central et seul décor ou presque, ces êtres devenus robots se suspendent, tombent et rebondissent, se ruent, s'envolent peut-être tout en virtuosité dans une chorégraphie poétique et totalement enivrante.

Ce voyage, d’un onirisme étrangement sobre, entre cirque et théâtre du corps, embarque du début à la fin. " Emmanuelle Bouchez, Télérama

Les droits de l’enfant vus par les principaux concernés. Ce spectacle a été créé suite à une immersion de dix-huit mois dans des structures de l’Aide Sociale à l’Enfance et de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.

Ça se passe au Square Jean XXIII mais ça pourrait aussi bien se passer dans un café, le bistro du quartier, le troquet du coin, le bar-tabac-Loto-PMU… Trois comédien.ne.s et un musicien incarnent des habitués des lieux. Chacun se questionne sur le sens de la vie, sur sa place dans le monde. Leurs solitudes vont se rencontrer. À coups de chansons d’ici et d’ailleurs, ils tenteront de poétiser la nature et le genre humain, d’égayer notre planète.

Les droits de l’enfant vus par les principaux concernés. Ce spectacle a été créé suite à une immersion de dix-huit mois dans des structures de l’Aide Sociale à l’Enfance et de la Protection Judiciaire de la Jeunesse.

Fruit d'un important travail de collecte, ce spectacle raconte des enfances réunionnaises perdues en liant deux tragédies, deux injustices : celle du scandale des enfants de la Creuse et celle de sa propre famille. Quand la déportation de plus de deux mille enfants percute une douleur personnelle, intime.

Autant de visages effacés que Sergio Grondin a choisi de retrouver pour tacher de répondre à une seule question, puisqu'on ne cicatrise jamais vraiment d'une blessure d'enfance : comment de zanfan-bandoné redevenir Domoun ?

L’auteure est aussi archéozoologue, comme le personnage de cette nouvelle pièce de la Compagnie Lépok Épik inspirée par le Petit Traité. À partir d’ossements, l’archéozoologue étudie les relations ancestrales entre l’homme et l’animal, en tentant d’assembler un squelette à partir d’un puzzle, sans que tout se casse la figure. Une métaphore de notre monde ! Le résultat est bourré de philosophie et d’autodérision, tragi-comique, totalement pince-sans-rire. Forcément, ça prête à réfléchir, et à se moquer de nous-mêmes !

L’auteure est aussi archéozoologue, comme le personnage de cette nouvelle pièce de la Compagnie Lépok Épik inspirée par le Petit Traité. À partir d’ossements, l’archéozoologue étudie les relations ancestrales entre l’homme et l’animal, en tentant d’assembler un squelette à partir d’un puzzle, sans que tout se casse la figure. Une métaphore de notre monde ! Le résultat est bourré de philosophie et d’autodérision, tragi-comique, totalement pince-sans-rire. Forcément, ça prête à réfléchir, et à se moquer de nous-mêmes !

L’auteure est aussi archéozoologue, comme le personnage de cette nouvelle pièce de la Compagnie Lépok Épik inspirée par le Petit Traité. À partir d’ossements, l’archéozoologue étudie les relations ancestrales entre l’homme et l’animal, en tentant d’assembler un squelette à partir d’un puzzle, sans que tout se casse la figure. Une métaphore de notre monde ! Le résultat est bourré de philosophie et d’autodérision, tragi-comique, totalement pince-sans-rire. Forcément, ça prête à réfléchir, et à se moquer de nous-mêmes !