Pour son premier solo écrit par Salim M’zé Hamadi Moissi, Adolf Said exprime l’impérieuse nécessité de dire sa fougue avec son corps depuis son existence à la marge, muet et malentendant.
Sa détermination est une réponse à la question lancinante :
- “Pourquoi danses-tu toujours ?”
- “Je suis sourd-muet, mais je peux danser”.
Alors sans cesse, Adolf danse.