Librement inspirée de Germinal de Zola
Dans cette histoire, chacun lutte : contre le patriarcat, contre le capitalisme, contre le déterminisme social. Les gens d’en bas est une plongée dans le tumulte ouvrier, mais aussi une histoire d’amour, d’amitié, de résistance. La langue du roman est retravaillée dans un mélange puissant et poétique, entre langue contemporaine et langue littéraire de Zola.
Les mots claquent, chantent, les corps grondent. La révolte germe, son éclosion est imminente.