La Cie Miangaly, avec la complicité de la Brigade Mobile d’Intervention Artistique du CDNOI prennent les commandes de notre fabrique créative itinérante et transforment le MobilTéat en lieu de rencontres théâtrales et artistiques.

L’occasion pour les habitant.e.s du quartier, petits et grands, de découvrir en famille les spectacles L’enfant et le tambour de nuit et La ferme de la Cie Miangaly, mais aussi de prendre part à des ateliers, des échanges en bord de scène et de nombreuses rencontres artistiques en lien avec le territoire.

C’est l’histoire d’un garçon qui sort au coucher du soleil car il entend un bruit. Cela arrive chaque fois qu’il ferme les yeux. Et cela s’arrête dès qu’il les ouvre… Il a l’impression que ça vient de là-haut, par-dessus le toit. Alors, il sort, il regarde les étoiles en train de naître dans le soleil couchant. 
Mais il n’y a rien ! Il reste là, longtemps, à attendre le bruit. Mais le bruit ne revient plus. 

La Cie Miangaly, avec la complicité de la Brigade Mobile d’Intervention Artistique du CDNOI prennent les commandes de notre fabrique créative itinérante et transforment le MobilTéat en lieu de rencontres théâtrales et artistiques.

L’occasion pour les habitant.e.s du quartier, petits et grands, de découvrir en famille les spectacles L’enfant et le tambour de nuit et La ferme de la Cie Miangaly, mais aussi de prendre part à des ateliers, des échanges en bord de scène et de nombreuses rencontres artistiques en lien avec le territoire.

Avec La ferme, la metteuse en scène Fela Razafiarison tisse une fresque sociopolitique qui questionne notre capacité à trouver les voies de l'espérance. L'histoire - à la fois fulgurante et réaliste - suit le destin de deux boxeuses, jumelles et orphelines, animées par des idéaux, des espoirs et des rêves.

La Cie Miangaly, avec la complicité de la Brigade Mobile d’Intervention Artistique du CDNOI prennent les commandes de notre fabrique créative itinérante et transforment le MobilTéat en lieu de rencontres théâtrales et artistiques.

L’occasion pour les habitant.e.s du quartier, petits et grands, de découvrir en famille les spectacles L’enfant et le tambour de nuit et La ferme de la Cie Miangaly, mais aussi de prendre part à des ateliers, des échanges en bord de scène et de nombreuses rencontres artistiques en lien avec le territoire.

Avec La ferme, la metteuse en scène Fela Razafiarison tisse une fresque sociopolitique qui questionne notre capacité à trouver les voies de l'espérance. L'histoire - à la fois fulgurante et réaliste - suit le destin de deux boxeuses, jumelles et orphelines, animées par des idéaux, des espoirs et des rêves.

« Occident est une pièce terrible et sans détours, une pièce noire et drôle. On rit. Et on s’en veut de rire. On rit de ce couple qui se déchire, de l’absurdité de l’extrémisme, de cette recherche désespérée d’un reste d’amour. Chaque jour la même histoire. Il rentre chez eux, ivre et gonflé d’une haine du dehors qu’il déverse sur elle dans un torrent d’insultes, de menaces, de reproches. Elle l’attend. Et elle l’humilie. Il ne s’agit pas ici de violence conjugale, mais plutôt de violence conjuguée. Une violence à deux, à tous.

Vous aimez Shakespeare ? Ou vous ne connaissez pas du tout ? Vous voulez savoir comment on devient une ordure, une vraie ? Réponse dans Richard III x III, à 17h30, au Jardin Botanique de Mascarin aux Colimaçons, le 7 mai

Au menu : morts tragiques, trahisons et gags en tout genre.

Ce spectacle vous est proposé gratuitement dans le cadre du dispositif Guetali.

Pierre et Babou avaient pourtant soigneusement préparé cette soirée : un bon petit dîner avec des proches et des copains de longue date, un cercle intime et bien choisi, tous les ingrédients d’un moment d’amitié joyeuse étaient réunis. Il aura fallu l’humour potache d’un trublion pour gâter l’entente générale et que les maladresses s’enchaînent à réveiller de cuisantes rancunes.

Un dégât des eaux survenu dans une galerie parisienne menace la tenue du vernissage de l’exigeante Véronika Robinstein. Sommée d’organiser l’exposition coûte que coûte, l’infortunée galeriste Valérie, tentera de concilier les impératifs de la pointilleuse artiste et la rudesse des ouvriers du bâtiment côtoyant le même espace pendant toute la durée des travaux….

 Tarif 10 Euros, et 08 Euros pour les enfants

Durée 01H20, spectacle à partir de 12 ans

Réservations par SMS : 06 92 009 225

NB : Fournir la date du spectacle, le nom de la personne ainsi que le nombre de places

Interprété par un Jean Laurent Faubourg exceptionnel, un comédien décide de réaliser le rêve de sa vie : rassembler en une seule écriture les plus grands monologues de l’œuvre Shakespearienne (Hamlet, Richard III, Othello, Macbeth...) pour en faire un étonnant spectacle et enfin exister aux yeux de tous. Il cherche, pour ce faire, un personnage qui puisse être à la hauteur de son ambition. Mais cette merveilleuse aventure théâtrale se transforme en un cauchemar rempli de doutes et de l’épineux dilemme existentiel Shakespearien: Être ou ne pas être? Car existe-t-on vraiment quand nous sommes prêts à renier qui nous sommes?

Cette pièce est une forêt dans laquelle plongent, chantent, chuchotent et crient quatre comédiens  – explorateurs. La Bou sou la po réunit des thématiques et une équipe artistique issue de 3 territoires ultramarins : La Réunion, la Guyane, la Martinique.

Cette pièce est une forêt dans laquelle plongent, chantent, chuchotent et crient quatre comédiens  – explorateurs. La Bou sou la po réunit des thématiques et une équipe artistique issue de 3 territoires ultramarins : La Réunion, la Guyane, la Martinique.

Florient Jousse prête ses traits à Maxime Berthon, habitant d’un village au bord de l’Atlantique, qui voudrait que ça change. Mais comment faire ? Pour dessiner ce chemin de vie, accompagné de la harpe subtile et de la voix sublime d’Audrey Saad, le dramaturge et comédien a puisé dans la matière la plus évidente : sa propre histoire.

Après Frénésies et son rythme endiablé, Sur nos routes porte un regard plus profond et contemplatif sur les voyages, sur les rencontres et sur soi. L’intime du jeune Maxime rejoint celui de Karim et Hakima, Jack, Frédéric et les autres, dont les portraits sonores glanés ici et là racontent les questionnements universels et les destins extraordinaires dans un bijou de dramaturgie et de poésie.

Librement inspiré du célèbre roman fantastique de Michael Ende, Momo propose un voyage à la découverte du temps qui fascinera les enfants et offrira aux adultes une extraordinaire métaphore de l’existence. 

Florient Jousse prête ses traits à Maxime Berthon, habitant d’un village au bord de l’Atlantique, qui voudrait que ça change. Mais comment faire ? Pour dessiner ce chemin de vie, accompagné de la harpe subtile et de la voix sublime d’Audrey Saad, le dramaturge et comédien a puisé dans la matière la plus évidente : sa propre histoire.

Après Frénésies et son rythme endiablé, Sur nos routes porte un regard plus profond et contemplatif sur les voyages, sur les rencontres et sur soi. L’intime du jeune Maxime rejoint celui de Karim et Hakima, Jack, Frédéric et les autres, dont les portraits sonores glanés ici et là racontent les questionnements universels et les destins extraordinaires dans un bijou de dramaturgie et de poésie.

"Au commencement il y a le mystère : entre danse contemporaine et poésie déclamée, puis l'exclamation face aux braises incandescentes et enfin le soulagement dans la transe rythmée et symbolique que Chris Hoarau met en œuvre dans son cercle hypnotique. (...)

Présenté pour la première fois lors du Tempo Festival 2022, le spectacle continue sa route vers des espaces “hors les murs” à la rencontre de tous les publics grâce au dispositif Guétali de la Région Réunion.

Librement inspiré du célèbre roman fantastique de Michael Ende, Momo propose un voyage à la découverte du temps qui fascinera les enfants et offrira aux adultes une extraordinaire métaphore de l’existence. 

Qu’est-ce qui te fait toi ? Si j’avais su naît d’une récolte de témoignages autour des regrets, de la mémoire et du deuil auprès de collégiens et de gramounes réunionnais. Un personnage tente de remonter le fil de ce qui le constitue. À travers ses peines, ses doutes et ses souvenirs, il nous invite à suivre son histoire. Entre quête personnelle et récit testamentaire heureux, Si j’avais su est une parole qui jaillit pour rendre hommage, une dernière fois, à ce qui fait notre héritage : nos morts, nos mortes. Les personnes comme les lieux.

A l’heure des créateurs de contenu autoproclamés influenceurs qui pullulent sur les réseaux sociaux, Fred Vargas offre sa version écrite. On oublie les polars auxquels l’auteure nous a habitués, voici donc un « traité ». Soit un exposé analytique et circonstancié, mais ici largement truffé de « vérités » universellement personnelles. Et Sylvie Espérance de s’en emparer. Dans un seule en scène où la protagoniste déballe les incohérences d’une existence chaotique, le prétexte philosophique s’éparpille en digressions loufoques.

Florient Jousse prête ses traits à Maxime Berthon, habitant d’un village au bord de l’Atlantique, qui voudrait que ça change. Mais comment faire ? Pour dessiner ce chemin de vie, accompagné de la harpe subtile et de la voix sublime d’Audrey Saad, le dramaturge et comédien a puisé dans la matière la plus évidente : sa propre histoire.

Après Frénésies et son rythme endiablé, Sur nos routes porte un regard plus profond et contemplatif sur les voyages, sur les rencontres et sur soi. L’intime du jeune Maxime rejoint celui de Karim et Hakima, Jack, Frédéric et les autres, dont les portraits sonores glanés ici et là racontent les questionnements universels et les destins extraordinaires dans un bijou de dramaturgie et de poésie.

" Entre intrigues et quiproquos, venez découvrir la rencontre improbable de deux personnages que tout oppose : quand Solange, une provinciale coincée, rencontre Victoire, une SDF alcoolique et bourrue qui renferme un lourd secret, ça fait des étincelles ! "

2e rendez-vous du semestre pour Lyane-Kabar, ce kabar fonnkèr pas comme les autres. Un rendez-vous pensé et animé par Lao Vanglao, alias Bernard Grondin, ardent défenseur de la cause sociale à la Réunion, mais aussi fonnkézèr, conteur, chanteur, poète. Autour de lui se rassemblent des artistes passionnés et inspirés, des ardents défenseurs de la culture réunionnaise, des passeurs d’émotions et de réflexions…

Après les avoir découverts l’année dernière dans un spectacle qui a enchanté petits et grands, ces artistes virtuoses du masque reviennent pour nous raconter la plus colossale escroquerie jamais perpétrée à l’encontre de l’humanité... Des agents d’une soi-disant Caisse d’épargnetemps volent des minutes, des heures, des années à des victimes innocentes. Heureusement, Momo, une petite fille courageuse va mener la bataille pour rendre à l’humanité la seule richesse qu’elle possède vraiment : le temps.

Après les avoir découverts l’année dernière dans un spectacle qui a enchanté petits et grands, ces artistes virtuoses du masque reviennent pour nous raconter la plus colossale escroquerie jamais perpétrée à l’encontre de l’humanité... Des agents d’une soi-disant Caisse d’épargnetemps volent des minutes, des heures, des années à des victimes innocentes. Heureusement, Momo, une petite fille courageuse va mener la bataille pour rendre à l’humanité la seule richesse qu’elle possède vraiment : le temps.

Qui ne connaît Ubu, le très fameux Père Ubu, jailli comme un pantin truculent de la plume d’Alfred Jarry ? Le voici qui dévale sur nos planches, tout à ses rodomontades abracadabraguignolesques, lâche fantoche qui jure, pourfend et guerroie, clown déraisonnable, matamore ridicule.

" Entre intrigues et quiproquos, venez découvrir la rencontre improbable de deux personnages que tout oppose : quand Solange, une provinciale coincée, rencontre Victoire, une SDF alcoolique et bourrue qui renferme un lourd secret, ça fait des étincelles ! "

Une pièce choc. Un face à face aussi monstrueux que farcesque où l’insulte tient lieu de discours, où la brutalité se matérialise en rituel destructeur. Rémi de Vos enferme un couple dans un jeu de déconstruction consentie. Elle et Lui. Leur identité se réduit à leur genre. Leurs jours sont un combat sans fin, une descente infernale vers le pire de chacun.

"Au commencement il y a le mystère : entre danse contemporaine et poésie déclamée, puis l'exclamation face aux braises incandescentes et enfin le soulagement dans la transe rythmée et symbolique que Chris Hoarau met en œuvre dans son cercle hypnotique. (...)

Présenté pour la première fois lors du Tempo Festival 2022, le spectacle continue sa route vers des espaces “hors les murs” à la rencontre de tous les publics grâce au dispositif Guétali de la Région Réunion.

" Entre intrigues et quiproquos, venez découvrir la rencontre improbable de deux personnages que tout oppose : quand Solange, une provinciale coincée, rencontre Victoire, une SDF alcoolique et bourrue qui renferme un lourd secret, ça fait des étincelles ! "

Depuis toute petite, Nelly Bouineau chausse tout ce qui roule, tout ce qui glisse : des rollers, des patins à glace, des chaussures de ski sur une planche de snowboard… Alors, pour son premier spectacle jeune public, elle a choisi comme fil rouge des patins à roulettes !

Une femme « mécano-coquette à roulettes » nous invite dans sa case et son atelier. Elle cause d’une drôle de façon, avec ou sans mots, danse avec ou sans patins, répare, retape, rafistole, bidouille… De confidences en transformation, de souvenirs en moments de folie, elle nous embarque dans la joyeuse fête de sa vie.

Depuis toute petite, Nelly Bouineau chausse tout ce qui roule, tout ce qui glisse : des rollers, des patins à glace, des chaussures de ski sur une planche de snowboard… Alors, pour son premier spectacle jeune public, elle a choisi comme fil rouge des patins à roulettes !

Une femme « mécano-coquette à roulettes » nous invite dans sa case et son atelier. Elle cause d’une drôle de façon, avec ou sans mots, danse avec ou sans patins, répare, retape, rafistole, bidouille… De confidences en transformation, de souvenirs en moments de folie, elle nous embarque dans la joyeuse fête de sa vie.

Depuis toute petite, Nelly Bouineau chausse tout ce qui roule, tout ce qui glisse : des rollers, des patins à glace, des chaussures de ski sur une planche de snowboard… Alors, pour son premier spectacle jeune public, elle a choisi comme fil rouge des patins à roulettes !

Une femme « mécano-coquette à roulettes » nous invite dans sa case et son atelier. Elle cause d’une drôle de façon, avec ou sans mots, danse avec ou sans patins, répare, retape, rafistole, bidouille… De confidences en transformation, de souvenirs en moments de folie, elle nous embarque dans la joyeuse fête de sa vie.

Août 2023, aéroport d’Athènes. L’équipe de la Compagnie TAMAM est prête à embarquer dans l’avion qui la ramènera à La Réunion, sauf que… la Grèce est en flammes ! Au total, plus de 150 000 hectares partent en fumée dans le plus grand incendie jamais enregistré dans l’Union européenne. Les vols sont annulés, ou reportés à une date inconnue.

De contretemps en empêchements, les trois artistes restent coincés dans le hall des départs pendant cinq jours et quatre nuits, condamnés à l’ennui dans un confort spartiate. Le temps s’étire et se brouille parmi les voyageurs qui attendent. Pour s’occuper, ils se donnent une mission : créer un spectacle !

Après Un léger parfum d’Edmond et ses senteurs vanille en 2024, Baba Sifon fait son come-back à KADADAK avec un solo de théâtre gestuel et dansé qui concentre les meilleures recettes de nos mémés et les saveurs qui titillent nos papilles.

À partir de 2021, la compagnie a interrogé petits et grands sur leurs plaisirs gustatifs, avec un millefeuille d’objectifs : dénicher les madeleines de Proust créoles à partager, mettre an lèr le plaisir de croquer des produits frais, et cuisiner en s’amusant.

Conteurs : Jean-Laurent Faubourg et Lolita Tergémina.

Avec une touche de mysticisme et de fatalité, cette histoire intrigante nous rappelle que nos choix, même guidés par de sages conseils, peuvent avoir des conséquences imprévues et conduire à un destin tragique. La guérison, l’équilibre et le bonheur se trouvent parfois dans des lieux familiers ou dans des aspects de notre vie que l’on néglige.

« Comme quand ma mère sortait le soir » : Nicolas Givran donne le ton de la carte blanche que lui propose le Théâtre sous les Arbres. Son Vavangaz sou pyédbwa sera une tentative de mettre en scène des performances de l’artiste plasticien Thierry Rivière sur une bande-son d’enfance de la génération X (Dalida, Mike Brant, Serge Lama et compagnie…).

En prenant pour point de départ des images, dessins et vidéos de Thierry Rivière, dont les œuvres présentent des corps empêchés, contraints ou augmentés, le plasticien, Nicolas Givran et deux complices interprètes vont associer leurs univers artistiques pour proposer une série de tableaux burlesques et poétiques.

Conteurs : Éric Lauret et Fany Turpin

Lafous, un arbre majestueux jusque-là utile pour sa seule écorce destinée à la fabrication de tisane, prend conscience de sa véritable grandeur lors d’un cyclone. Le météore le pousse à se transformer en une entité toute puissante : un « arbre-Dieu ». Lafous devient alors une conscience connectée à l’ensemble du monde. Il accède à la connaissance profonde des sciences, des époques, des épopées, et se sent lié à l’univers tout entier, abandonnant son rôle de simple pyédbwa à tisane pour incarner une force divine infinie.

La compagnie Qu’avez-vous fait de ma bonté ? donne une seconde vie à cet élément de décor en le plaçant au centre d’un spectacle tout terrain. Autour, une centaine de spectateur.ice.s voit arriver un.e comédien.ne qui entre dans la cabine et compose un numéro. Dans l’assistance, un smartphone sonne, celui d’un.e autre comédien.ne. Les deux protagonistes entament alors un dialogue aussi anachronique que la situation. L’un évolue au présent, l’autre dans le passé. Le personnage dans la cabine est-il le fantôme d’une relation passée venu hanter le présent de l’autre ? Le texte, écrit par Nicolas Givran et François Gaertner, prend le parti de la tragi-comédie accessible au plus grand nombre. Une histoire d’amour. Une histoire de rupture. Une séparation en écho au titre : Ne quittez pas.

La compagnie Qu’avez-vous fait de ma bonté ? donne une seconde vie à cet élément de décor en le plaçant au centre d’un spectacle tout terrain. Autour, une centaine de spectateur.ice.s voit arriver un.e comédien.ne qui entre dans la cabine et compose un numéro. Dans l’assistance, un smartphone sonne, celui d’un.e autre comédien.ne. Les deux protagonistes entament alors un dialogue aussi anachronique que la situation. L’un évolue au présent, l’autre dans le passé. Le personnage dans la cabine est-il le fantôme d’une relation passée venu hanter le présent de l’autre ? Le texte, écrit par Nicolas Givran et François Gaertner, prend le parti de la tragi-comédie accessible au plus grand nombre. Une histoire d’amour. Une histoire de rupture. Une séparation en écho au titre : Ne quittez pas.

La compagnie Qu’avez-vous fait de ma bonté ? donne une seconde vie à cet élément de décor en le plaçant au centre d’un spectacle tout terrain. Autour, une centaine de spectateur.ice.s voit arriver un.e comédien.ne qui entre dans la cabine et compose un numéro. Dans l’assistance, un smartphone sonne, celui d’un.e autre comédien.ne. Les deux protagonistes entament alors un dialogue aussi anachronique que la situation. L’un évolue au présent, l’autre dans le passé. Le personnage dans la cabine est-il le fantôme d’une relation passée venu hanter le présent de l’autre ? Le texte, écrit par Nicolas Givran et François Gaertner, prend le parti de la tragi-comédie accessible au plus grand nombre. Une histoire d’amour. Une histoire de rupture. Une séparation en écho au titre : Ne quittez pas.

Conteurs : Pierre-Armand Malet et Stéphane Thomas

La vie d’Eugénie fut marquée par une malchance inouïe, comme si le destin l’avait désignée pour être la victime d’une lutte sans fin entre le bien et le mal. Dès sa naissance, elle perdit son frère jumeau. Un baptême et un enterrement à la fois, un signe prémonitoire de la souffrance qui l’attendait.

Ah, vous croyez qu’on peut venir au Théâtre sous les Arbres, comme ça, à la dernière minute, et qu’on trouvera toujours des places ? Oui… mais non. Pas pour Krwazman qui affiche chaque année complet au moins un mois à l’avance. Et pourtant, c’est bien la seule soirée de la saison à laquelle vous assistez sans avoir la moindre idée de ce que vous verrez.

Krwazman, ce sont des duos d’artistes inédits, cette saison 100% féminins, deux univers que personne n’avait jamais fusionnés et qui donnent une saveur unique et intense, un peu comme si on combinait la richesse d’un chocolat à haute teneur en cacao avec un vinaigre de cidre bio acide et sucré. Le résultat ? Un équilibre étonnant !