• 15h30 – 17h | Scène ouverte – place aux talents amateurs du territoire
• 17h15 – 17h45 | Spectacle de danse contemporaine – "Pièce de bus" par la Cie Morphose
• 18h – 18h45 | Restitution "Pieds à Terre"
• 18h45 – 19h45 | Instant musical avec Erick Lebeau
• 20h | Fermeture du site

Tout au long de l'après-midi :
• Exposition photographique "Dan Zardin"
• Marché des producteurs locaux : Découvrez des produits du terroir directement des producteurs des alentours
• Restauration et boissons, avec l'association "Bouzé Senior" du Guillaume

Lieu : Plateau noir, Le Guillaume - Saint-Paul
https://maps.app.goo.gl/kiVcjpashSqRTj5p6

Cette création chorégraphique interroge le corps masculin et ses modèles persistants à travers un défilé chorégraphique punk-rock. Sous la direction artistique de Soraya Thomas, Les jupes explore les thématiques de la joie et de l’insoumission en se penchant sur les modèles et symboles entourant la masculinité, le corps et l’autorité. Originalité : la musique créée par Erick Lebeau, est interprétée en direct par les danseurs sur le plateau, et la scénographie est également déconstruite grâce à la création d'un ensemble scénique mobile.

Cinq femmes, cherchant la tendresse entre elles, envers les autres, qui se soutiennent, se rencontrent et se croisent. “Complainte d’une tendresse” est une quête de la tendresse à la fois désespérée et pleine d’espoir, portée par cinq chorégraphes-interprètes : Amélie Pialot, Armande Motais De Narbonne, Maeva Curco Llovera, Salome Curco-llovera et Sarah Dunaud. Ensemble, elles interrogent ce qu’est un geste tendre, comment il peut résister, se refuser, se rendre visible à une époque qui tend de plus en plus vers l’éloignement des corps. Une étreinte, un mot, un regard ?

Le petit plus de la soirée – Opus musical avec Erick Lebeau

Il y a des titres qui s’imposent, ou qui en imposent, comme on veut. Celui de ce texte de l’auteur danois Stig Dagerman en fait indéniablement partie. Il s’en dégage une impression très nette de parfaite lucidité, d’une vision implacable exprimée sans fioriture. Et c’est bien ainsi que le texte est construit, bref, acéré, mais néanmoins chargé de poésie et d’images.

Stig Dagerman explore les grandes questions de la vie avec une hauteur qui lui permet de mêler gravité et humour.  « Décider de lire ce texte in extenso, c’est interroger le monde avec des mots/maux simples », dixit la note d’intention rédigée par la Compagnie. Des mots mis en musique : pendant que Thomas Billaudelle, comédien et metteur en scène de son état, s’empare du texte, Erick Lebeau (Tricodpo, Dolorès, …) lui élabore un écrin musical, matière sonore capable de faire naître l’émotion. Et de satisfaire, autant que faire se peut, notre propre besoin de consolation.