***Spectacle au chapeau*** réservation fortement conseillée car place limitée :
0692 69 78 85 / lesagitesdubokal@gmail.com
Pa est un clown cynique qui se joue de nous et ose rire de tout... Même de la mort ! Mais, peut-on rire de la mort ? C’est la question centrale de ce spectacle et soyez certains que Pa, créature monstrueuse et immortelle, fera tout pour échanger et rire avec vous, ou de vous, sur le sujet !
Dans ce solo de bouffon et marionnette, il s’agit de rire de la mort, celle qui nous effraie tous, celle que nous ne pourrons pas éviter. Comment embraser les tabous afin de rendre la mort plus acceptable ? Accoutré de manière différente selon les cultures, on lui a donné bien des noms… Certains l’appellent le Colporteur de mort ou encore l’Ankou, Izanami, Mictlantecuhtli, Anubis, Varna, Yanluowang, Thanatos… ! Aujourd’hui il s’appelle Pa. Il nous fait passer du royaume des vivants à celui des morts.
!!!!!! ATTENTION : REPRÉSENTATION ANNULÉE !!!!!
Pa est un clown cynique qui se joue de nous et ose rire de tout... Même de la mort ! Mais peut- on rire de la mort ? C’est la question centrale de ce spectacle et soyez certains que Pa, créature monstrueuse et immortelle, fera tout pour échanger et rire avec vous, ou de vous, sur le sujet !
Pa est un clown cynique qui se joue de nous et ose rire de tout… Même de la mort ! Mais peut-on rire de la mort ? C’est la question centrale de ce spectacle et soyez certains que Pa, créature monstrueuse et immortelle, fera tout pour échanger et rire avec vous, ou de vous sur le sujet !
«Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer», disait Beaumarchais. C’est un peu le propos de «Terminus», et au diable si le rire se fait grinçant. C’est sans doute même une nécessité, puisqu’après tout il s’agit de rire de la mort. Vaste sujet dont Pa vient nous entretenir, créature monstrueuse aux multiples noms à travers les siècles et les civilisations.
Le bouffon, art dérivé du clown, permet ce lien entre un sujet grave et un jeu ludique. Car il joue et rit de tout. Maître de la rupture, il se révolte, puis pleure, montre sans gêne son côté monstrueux, avant de nous surprendre avec son innocence. Il est le gant parfait que peut revêtir Pa pour nous emporter avec lui et nous aider à percevoir ce dernier voyage d’un œil plus léger.
Pa est un clown cynique qui se joue de nous et ose rire de tout… Même de la mort !
«Je m’appelle Pa… Enfin, si, je m’appelle. C’est Pa mon nom. Je suis Pa donc je suis…Vous comprenez ?»
Pa est un être à part. Il nous fait passer du royaume des vivants à celui des morts. C’est son travail. Pa est un monstre, il le reconnaît. Mais les hommes qu’il emporte avec lui, n’en sont-ils pas aussi ?
Avec Terminus, le comédien Alexis Campos et son metteur en scène Thibaut Garçon s’attaquent à celle que nous ne pourrons éviter : la mort. Et qui mieux que le Bouffon peut se permettre de moquer la mort elle-même ? Clown féroce inspiré par la poésie de François Villon, l’humour noir de Franquin et le jeu débordant de Ludor Citrik, Pa vous invite à une célébration sombre et joyeuse… Oserez-vous ?
Il s’appelle Pa. C’est Pa son nom. Enfin si… Il est Pa. Bref. Restons tranquille, ne fuyons pas, nous allons tous mourir un jour ou l’autre. Qu’est-ce qui nous effraie tant dans la mort ? Nous avons une chance inouïe de mourir. Pa, lui, n’est jamais décédé, mais jamais né non plus. De génération en génération, sa famille erre entre nos berceaux et nos tombes. Pa joue les guides funèbres, frustré de ne pouvoir accompagner l’humanité de vie à trépas. Tel un bouffon diabolique, il manipule le public pour accompagner un spectateur qui accepterait de passer l’arme à gauche, et c’est drôle à mourir !
Pour la première fois seul en scène, Alexis Campos navigue entre humour noir et mythe faustien avec une étonnante adresse, dans une scénographie minimaliste et léchée. Faire rire, en grinçant des dents, de la mort qui nous attend inévitablement, c’est un grand Pa !
Durée: 1h15 min. À voir dès 12 ans. Tarifs: de 3 à 13 €
À VOIR ÉGALEMENT :
Mardi 8 juin — 19h00 et Vendredi 11 juin — 19h00
Il s’appelle Pa. C’est Pa son nom. Enfin si… Il est Pa. Bref. Restons tranquille, ne fuyons pas, nous allons tous mourir un jour ou l’autre. Qu’est-ce qui nous effraie tant dans la mort ? Nous avons une chance inouïe de mourir. Pa, lui, n’est jamais décédé, mais jamais né non plus. De génération en génération, sa famille erre entre nos berceaux et nos tombes. Pa joue les guides funèbres, frustré de ne pouvoir accompagner l’humanité de vie à trépas. Tel un bouffon diabolique, il manipule le public pour accompagner un spectateur qui accepterait de passer l’arme à gauche, et c’est drôle à mourir !
Pour la première fois seul en scène, Alexis Campos navigue entre humour noir et mythe faustien avec une étonnante adresse, dans une scénographie minimaliste et léchée. Faire rire, en grinçant des dents, de la mort qui nous attend inévitablement, c’est un grand Pa !
Il s’appelle Pa. C’est Pa son nom. Enfin si… Il est Pa. Bref. Restons tranquille, ne fuyons pas, nous allons tous mourir un jour ou l’autre. Qu’est-ce qui nous effraie tant dans la mort ? Nous avons une chance inouïe de mourir. Pa, lui, n’est jamais décédé, mais jamais né non plus. De génération en génération, sa famille erre entre nos berceaux et nos tombes. Pa joue les guides funèbres, frustré de ne pouvoir accompagner l’humanité de vie à trépas. Tel un bouffon diabolique, il manipule le public pour accompagner un spectateur qui accepterait de passer l’arme à gauche, et c’est drôle à mourir !
Pour la première fois seul en scène, Alexis Campos navigue entre humour noir et mythe faustien avec une étonnante adresse, dans une scénographie minimaliste et léchée. Faire rire, en grinçant des dents, de la mort qui nous attend inévitablement, c’est un grand Pa !
Durée: 1h15 min. À voir dès 12 ans. Tarifs: de 3 à 13 €
À VOIR ÉGALEMENT :
Mardi 8 juin — 19h00 et Vendredi 11 juin — 19h00
Il s’appelle Pa. C’est Pa son nom. Enfin si… Il est Pa. Bref. Restons tranquille, ne fuyons pas, nous allons tous mourir un jour ou l’autre. Qu’est-ce qui nous effraie tant dans la mort ? Nous avons une chance inouïe de mourir. Pa, lui, n’est jamais décédé, mais jamais né non plus. De génération en génération, sa famille erre entre nos berceaux et nos tombes. Pa joue les guides funèbres, frustré de ne pouvoir accompagner l’humanité de vie à trépas. Tel un bouffon diabolique, il manipule le public pour accompagner un spectateur qui accepterait de passer l’arme à gauche, et c’est drôle à mourir !
Pour la première fois seul en scène, Alexis Campos navigue entre humour noir et mythe faustien avec une étonnante adresse, dans une scénographie minimaliste et léchée. Faire rire, en grinçant des dents, de la mort qui nous attend inévitablement, c’est un grand Pa !
Durée: 1h15 min. À voir dès 12 ans. Tarifs: de 3 à 13 €
À VOIR ÉGALEMENT :
Mardi 8 juin — 19h00 et Vendredi 11 juin — 19h00
Manzi était à la première et il a été bluffé par ce clown vénère:
“(…) Pa va très vite converser avec le public et rendre la prestation interactive et vivante, même si son dessein avoué est d’accompagner un spectateur qui accepterait de décéder en toute spontanéité. Cet humour noir crée le malaise et la crise sanitaire du moment rend l’instant plus pertinent. Chaque quinte de toux dans les travées fait rigoler car le potentiel cancéreux risque de se faire débusquer par notre guide funèbre particulièrement zélé. Ce n’est pas la première fois qu’un artiste se moque des toussotements intempestifs mais l’on pouvait clairement deviner les rires jaunes sous les masques. Une fois la candidate désignée, les conseils non-hygiénistes pour créer un cluster sont aussi provocants qu’hilarants. “
La critique complète ICI
“Le clown Pa vit dans un monde où le temps est suspendu, pourtant le rythme des saynètes est soutenu. En 2020, faire rire en mimant un infanticide ou un féminicide, c’est quand même couillu. Le Patronyme procure quelques équivoques à la Devos mais l’auteur ne s’est pas cassé les dents à user de jeux de mots redondants. Les fréquents apartés contrebalancent avec malice la tendance schizophrénique de son clown, évitant le basculement dans un propos philosophique dogmatique.”
Si l’extrait de la critique de Manzi ne t’a pas complètement conquis, la suite est ICI.
SI t’es de suite emballé, t’as plus qu’à réserver.
Manzi était à la première et il a été bluffé par ce clown vénère:
“(…) Pa va très vite converser avec le public et rendre la prestation interactive et vivante, même si son dessein avoué est d’accompagner un spectateur qui accepterait de décéder en toute spontanéité. Cet humour noir crée le malaise et la crise sanitaire du moment rend l’instant plus pertinent. Chaque quinte de toux dans les travées fait rigoler car le potentiel cancéreux risque de se faire débusquer par notre guide funèbre particulièrement zélé. Ce n’est pas la première fois qu’un artiste se moque des toussotements intempestifs mais l’on pouvait clairement deviner les rires jaunes sous les masques. Une fois la candidate désignée, les conseils non-hygiénistes pour créer un cluster sont aussi provocants qu’hilarants. “
La critique complète ICI
