Un conte sordide, une marâtre cruelle, un garçon décapité, recousu et revenu d’entre les morts. Typhus Bronx donne chair à l’un des récits les plus noirs des frères Grimm, avec une intensité dérangeante et un humour féroce.
Un conte sordide, une marâtre cruelle, un garçon décapité, recousu et revenu d’entre les morts. Typhus Bronx donne chair à l’un des récits les plus noirs des frères Grimm, avec une intensité dérangeante et un humour féroce.
Typhus a trouvé une histoire. Une histoire chétive en mald’amour qu’il a recueillie et soignée du mieux qu’il a pu. Elle est peut-être un peu tordue, mais cette nuit elle ose se montrer. Elle vous attend. Vêtue de son plus beau costume d’épouvantabilité d’horreur atroce, la voilà prête à remplir vos têtes de jolis croche noirs... Qui l’aime la suive. « Vous pensiez être arrivés au comble de l’insuportabilité d’angoisse ? Et bien détrompons-vous !
Dans une chambre où tout est blanc, Typhus dialogue avec ses fantômes. Son esprit en désordre transforme la folie en un terrain de jeu burlesque et grinçant, où même le pire devient prétexte à rire.
Aujourd’hui, est un jour particulier : il va bientôt sortir. Il est encore de l’autre côté, mais vous n’êtes pas si loin. Il vous voit, il vous sent, il vous touche. Typhus va franchir une à une les barrières qui le séparent de vous. A moins que ce ne soit vous qui fassiez le chemin vers lui…
Une immersion poétique, drôle et vertigineuse dans les arcanes de la folie.
Le prodige du clown débarque dans l'Est !
Grinçant, enfantin et provocateur, Typhus Bronx est extrêmement attachant. C'est un inadapté dont le besoin d'amour peut s'avérer destructeur. Il est enfermé dans une chambre où tout est blanc et nous, le public, on est enfermé avec lui dans sa tête.
Ce solo, à la croisée des arts de la prestidigitation, de la manipulation d’objet, du théâtre physique, du mouvement chorégraphique et du clown, interroge la solitude et les questionnements qui en découlent. Par quoi sont traversés ces songes ?
L’avis de Bongou c’est par ICI
Ce n’est pas tous les jours qu’un spectacle parvient à conjuguer l’éclat du burlesque avec l’urgence d’un sujet vital (qui concerne environ quinze millions de personnes à Madagascar et deux milliards de personnes dans le monde).
Sakasaka, qui signifie « assoiffé » en malgache du nord de l'île, nous plonge au cœur d’un paradoxe : celui d'un monde débordant d'informations mais pourtant toujours incapable de faire couler l’eau là où on en a le plus besoin. La Cie Zolobe de Diego Suarez livre là un manifeste clownesque fait de bruits, de musique, de corps et de chaos hilarants, le tout porté par une énergie collective remarquable.
Donnant à voir un théâtre de brousse profondément humaniste et résolument vivant, ce spectacle pourtant sans paroles n'en est pas moins éloquent.
3 spectacles pour une soirée !!!
Sur la place du Rotary.
Big up à la compagnie Zolobe qui nous vient de Madagascar pour Il était une fois… les vacances !
Créée en 1998, elle regroupe aujourd’hui une dizaine de comédiens qui sont aussi musiciens, danseurs, clowns ou marionnettistes professionnels et amateurs. À travers des contes, des chants et des danses, elle transmet la culture orale traditionnelle du nord de la grande île.
Après Zarazarao en 2012, première collaboration autour de l’art du clown entre Julien Lime et Zolobe qui s’est jouée plus de 500 fois à Madagascar, à La Réunion, dans l’Hexagone et jusqu’en Suède, Sakasaka est leur nouvelle partition pour 3 clowns et 2 musiciens, toujours dans un registre humaniste et multiculturel.
C’est au rythme du piano et de l’accordéon, que notre illusionniste vous emmènera dans son univers plein de poésie, de surprises, de prouesses, et surtout d’humour. Un spectacle mêlant magie, jonglerie, acrobatie et comédie, où le public sera autant acteur que spectateur. Une bulle de bonheur irrésistible qui promet de ravir aussi bien les petits que les grands !
C’est au rythme du piano et de l’accordéon, que notre illusionniste vous emmènera dans son univers plein de poésie, de surprises, de prouesses, et surtout d’humour. Un spectacle mêlant magie, jonglerie, acrobatie et comédie, où le public sera autant acteur que spectateur. Une bulle de bonheur irrésistible qui promet de ravir aussi bien les petits que les grands !
La maison ne recule devant aucun sacrifice ! Madame monsieur la société, dans ce spectacle ce n’est pas un, ce n’est pas deux, ce n’est pas trois, ce n’est pas quatre mais cinq disciplines dont Romuald Solesse s’empare avec brio pour vous parler d’un homme qui a tout perdu. Singulier Joyeux paradoxe ! En convoquant la magie, le théâtre d’objets, le mime, les ombres chinoises et l’acrobatie, il crée un seul en scène totalement inclassable.
